Il s’agit d’une étape déterminante dans la vie des jeunes adultes: l’entrée dans le monde actif. Soudain, ce n’est plus seulement l’école, mais on doit mettre la main à la pâte. Soudain, plus d’emploi du temps strict, mais plutôt des activités variées à différents endroits. Soudain, on n’est plus seulement avec des jeunes de son âge, mais on rencontre de nouvelles et nouveaux collègues ayant bien plus d’expérience professionnelle.
Actuellement, la BKW emploie au total environ 730 apprentis dans toute la Suisse. Ils ont remplacé les bancs d’école ou leur ancien métier par un apprentissage au sein dans une société du groupe BKW.
Joël, médiamaticien: «C’est un sentiment formidable de mener un projet en étant apprenti.»
Pour lui aussi, la diversité est un aspect essentiel du travail: à 19 ans, Joël Manser est apprenti médiamaticien, actuellement chez BKW Energy. «Tout a commencé avec l’appareil photo de mon grand-père», se rappelle-t-il. Plus tard, il s’est aussi mis à faire des vidéos. «J’ai fait des stages d’orientation dans de nombreuses entreprises. J’ai pu me rendre compte que chacune a sa propre définition du métier de médiamaticien: graphiste, photographe, vidéaste...»
Pourquoi a-t-il opté pour BKW? «C’est là que le travail était le plus varié.» Joël a terminé cette année un projet dont il a été entièrement responsable, du storyboard à la production et au montage en passant par la coordination des protagonistes. «C’est un sentiment formidable de mener un projet en étant apprenti», explique- t-il. La vidéo, qui montre le fonctionnement d’une station de recharge, est déjà consultable sur YouTube. La postproduction a d’ailleurs représenté le plus gros du travail. La règle d’or de Joël: «Une minute de vidéo nécessite huit heures de travail.» Pendant son temps libre, Joël est aussi en vadrouille pour JM Production, sa propre société de production vidéo. «C’est un tel plaisir que je ne le vis pas du tout comme un travail», assure- t-il. Lui reste-t-il quand même du temps pour les loisirs? Absolument: «Depuis deux ans, je fais du beach soccer, c’est parfait pour m’aérer l’esprit.» Et ça fonctionne bien: Joël a été élu rookie of the year, ou meilleur espoir de la Ligue nationale suisse, en jouant pour le Beachsoccer Club de Thoune (BSC Thun).
Era, informaticienne: «Tout le monde est toujours prêt à m’aider et à répondre à mes questions.»
Le choix de son métier s’est presque imposé à Era Asani. Enfant déjà, elle voulait savoir comment fonctionnait le téléviseur de la maison ou l’imprimante de l’école. Aujourd’hui, la jeune femme de 17 ans est en deuxième année d’apprentissage pour devenir informaticienne spécialisée dans le développement de plateformes. Ce qui la fascine là-dedans? «C’est notre avenir», explique-t-elle. «Tout est relié par le cloud.»
Elle est ravie d’UMB, son entreprise de formation, qui fait partie de BKW Building Solutions. «J’y ai probablement passé mon tout premier entretien d’embauche», se souvient-elle. Elle a tout de suite été convaincue par l’esprit d’équipe. «Tout le monde est toujours prêt à m’aider et à répondre à mes questions.» Et des questions, elle en a, car elle travaille à l’assistance de premier niveau, que les clientes et clients d’UMB contactent lorsque quelque chose ne fonctionne pas dans leur système informatique. «Mes collègues de l’équipe mettent même leurs propres demandes en attente pour m’aider à résoudre les problèmes», ajoute-t-elle. Son principal défi? «À l’école, ce sont les mathématiques», avoue-t-elle en riant. «J’ai toujours été très bonne dans cette matière, mais en formation d’informaticienne, le niveau est tout autre.» Malgré tout, elle ne changerait d’apprentissage pour rien au monde: «Chaque jour apporte ses nouveaux défis, j’adore ça.»
Tim et Jan, géomaticiens: «Parfois, je suis au bureau, parfois, sur un chantier. J’aime ce changement.»
Batteur et footballeur, Tim Haller répartit son temps libre entre la musique et le sport. À 16 ans, il aime la diversité autant dans ses loisirs que dans son travail: «Parfois, je suis au bureau, parfois, sur un chantier de BKW.» Ce mélange est manifestement cher à beaucoup d’apprenties et apprentis. C’est aussi le cas de Jan Schurtenberger, un collègue de Tim. «J’aime le changement», souligne-t-il. C’est notamment l’une des raisons qui ont poussé le jeune homme de 18 ans à opter pour une formation de géomaticien.
Au sein de BKW Power Grid, tous les deux apprennent aussi à utiliser des appareils de mesure spéciaux. Tim cite par exemple la station totale à numérisation de haute précision. De quoi s’agit-il? En bref: notre station totale est capable de générer des images 3D numérisées à grande vitesse et de procéder à des mesures d’angle et de distance avec une précision extrême. Les géomaticiennes et géomaticiens doivent donc disposer d’un bon bagage technique. «Il est important de toujours fournir un travail précis pour que la documentation des lignes de BKW corresponde à la réalité», précise Jan. Et Tim d’ajouter que l’abondance d’informations est un véritable défi en soi. «J’ai du mal à retenir tout ce que nous apprenons, car chaque jour apporte son lot de nouveautés.» En parallèle des travaux pratiques, tous les deux vont à l’école professionnelle, et même à l’école de maturité professionnelle pour Tim. Ils sont donc loin de s’ennuyer.
Farina, Marketing: «J’aime la diversité créative des tâches ainsi que l’excellente ambiance au sein de l’équipe.»
Farina Helle a été étudiante salariée pendant sept mois chez Assmann Beraten + Planen, une société du groupe BKW. Aujourd’hui, elle travaille au service marketing de BKW Engineering. Qu’est-ce qui lui plaît le plus dans sa nouvelle activité de communication marketing? «C’est avant tout la diversité créative des tâches ainsi que l’excellente ambiance au sein de l’équipe», explique-t-elle.
Au début de l’automne, Farina était surtout accaparée par l’EXPO REAL de Munich. Lors de ce salon spécialisé, le plus important d’Europe pour l’immobilier, BKW Engineering était représentée par plusieurs partenaires de réseau, qui ont présenté leur entreprise et leurs projets. «Notre stand a organisé de nombreuses présentations passionnantes», témoigne Farina. En parallèle, elle a accueilli les visiteuses et visiteurs, disposé les supports d’information, coordonné les rendez-vous, préparé les présentations techniques et les événements et aidé l’équipe de marketing à tous points de vue. «J’avais de quoi faire», confirme-t-elle en riant. Et quels sont ses projets pour l’avenir? «Je veux bien entendu réussir mes études. Mais j’aimerais aussi continuer à développer mes compétences en marketing et accumuler encore plus d’expérience.» Et dans sa vie privée? «Voir le monde», répond-elle. «Il me reste encore tant de choses à découvrir.»
Stefanie et Jessica, électriciennes de réseau: «Avec mon travail, je contribue à ce qu’il y ait de l’électricité à la maison quand on appuie sur l’interrupteur.»
Nous le savons depuis longtemps: la transition énergétique progresse. Toutefois, elle pourra seulement réussir si le réseau aussi est adapté aux nouvelles réalités. BKW recherche donc de nombreux électriciens et électriciennes de réseau, en particulier des apprenties et apprentis. Stefanie Meichtry et Jessica Schwab sont deux jeunes femmes qui voient leur avenir dans ce secteur. Pour l’une comme pour l’autre, il s’agit d’une deuxième formation.
Pourquoi ont-elles opté pour cette profession en particulier? La réponse de Stefanie, 23 ans, est aussi claire que compréhensible: «J’aime travailler dehors.» Mais l’air frais n’est pas sa seule motivation: «Avec mon travail, je contribue à ce qu’il y ait de l’électricité à la maison quand on appuie sur l’interrupteur. » Elle aime être en déplacement avec son équipe. Et l’esprit d’équipe, Stefanie n’en manque pas: pendant son temps libre, elle joue au football pour le SV Safnern. Y a-t-il des choses qui ne lui plaisent pas dans sa formation? «Non», répond-elle. Selon elle, il est juste parfois difficile d’être redevenue une apprentie. Jessica partage son avis. «Je cherchais un nouveau défi avec un travail manuel et je voulais travailler en équipe», explique la jeune femme de 30 ans. «Jusqu’à présent, c’est travailler dehors qui me plaît le plus.» Jessica décrit ainsi le quotidien chez Arnold AG: «Nous nous retrouvons à la centrale, récupérons notre matériel, puis nous rendons sur le chantier.» Là, elle va par exemple monter sur les mâts électriques. «Tous les jours, j’apprends quelque chose de nouveau»», explique- t-elle. Son équilibre avec le travail, elle le trouve en dessinant ou en jardinant pendant son temps libre.
Article de Inmotion
Cet article vient de «Inmotion», le magazine du personnel du groupe BKW. Vous trouverez le numéro complet au format PDF ici.
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